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Douleurs et pensées retranscrites.
22 novembre 2012

Premier amour.

Together

C'était un soir d'automne, tu m'avais appelé au lycée l'après-midi pour m'emmener en soirée le jour même. Je ne me doutais pas que tu me voulais depuis 8 mois déjà. Je n'avais même jamais vraiment pris le temps d'apprendre à te connaître, en fait. Puis tu es venu me chercher. Nous sommes partis à la soirée. Les verres d'alcool s'enchaînant, tu te rapprochais de moi, tout doucement. On est tous sortis dehors, et puis on s'est embrassé, pendant plusieurs minutes tellement tes lèvres étaient savoureuses. Je m'en rappelle comme si c'était hier. Mais ça fait pourtant déjà plus de 3 ans. Le lendemain, je reçois un message, me demandant si je voulais bien commencer une histoire avec toi. Une attention surprenante, que j'ai tout de même apprécier. Même si je ne me doutais pas un seul instant que j'allais vivre une histoire des plus magnifiques. Toujours un peu méfiantes des histoires d'amour, je laissais le tout aller. Et puis au fil du temps, tout s'est engendré : Notre premier nid d'amour chez ma mère, nos discussions des plus longues, nos rires si complices, nos folles nuits d'amour, nos si forts sentiments partagés... Tout était parfait.  Je crois que je peux le dire, j'ai vraiment vécu une histoire forte et merveilleuse. J'ai connu le grand amour, avec le grand A. Tant de choses partagées, tant de bonheur ensemble. On avait juste à se regarder pour savoir ce que l'on voulait l'un de l'autre. Nos petites escapades lors des soirées, obligé de s'éclipser pour faire l'amour tellement nous étions fous de désir. Les surnoms débiles qui te faisaient rire mais honte à la fois lorsque je les criaient devant tes potes pour t'embêter. Tes cadeaux plus jolis les uns que les autres. Nos petits secrets d'enfance partagés, qui nous faisaient partir dans des fous rires inimaginables. Notre complicité qui faisait des envieux. On s'en foutait de tout, on était ensemble, on vivait notre bonheur, nos moments, et c'est tout ce qui comptait. Tu étais mon meilleur ami, mon complice, mon amour, mon amant, ma drogue, ma vie, mes espoirs.  Et il y a aussi, nos premières vacances ensemble, à la mer, pur bonheur, pur exhil en amoureux. Ces moments où tu pleurais dans mes bras quand tout allait mal de ton côté, ces moments de réconfort si important à nos yeux. Nos moments de tristesse, de disputes, mais qui rendaient des réconciliations magiques sous la couette. Nos projets, nos envies de vivre ensemble. Tes visites à l'improviste, tes mots doux si beaux. Nos instants indescriptiblements fusionnels, où l'on entendait une musique, et que l'on se regardait pendant des heures, en s'enlaçant et en pleurant de joie d'être ensemble et de s'aimer si fort tous les deux. Et puis, est venu ton changement engendré par ton déménagement, nos envies commençaient à être différentes. On s'éloignait, mais on s'aimait encore tellement. Et puis nos disputes étaient si fréquentes, on se déchirait, on s'abîmait. Et ce soir où tu es venu me dire que tout était fini. Ce soir où tu as pleuré comme jamais je ne t'ai vu pleuré, ce moment où mon coeur fût déchiré, brisé en mille morceaux. Ce soir là où on était même pas capables de se dire aurevoir, tellement les larmes n'arrêtaient pas de couler pour nous deux, tellement notre amour était si fort encore l'un pour l'autre mais impossible à continuer. Je t'aime, et je t'aimerai toute ma vie. Ce que j'ai écris ici ne résume même pas le quart de ce que l'on a pu vivre ensemble. Ces deux ans de ma vie ont été les meilleurs de mon existence jusqu'ici. Tu es quelqu'un qui a compté plus que n'importe qui dans ma vie, j'aurai tout fait pour toi. On s'aimait d'un amour inconditionel, mais trop de choses ont fait que l'on devait se séparer. C'est dur de se quitter alors que l'ont sait pertinemment tous les deux que l'on s'aime à en mourir. J'aimerai tant que tu reviennes, j'aimerai tant revivre tout ça. La vérité c'est que, parfois tu me manques tellement que j'ai l'impression de crever tant ça fait mal. 

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