Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Douleurs et pensées retranscrites.

13 mars 2013

Cette chanson qui me fait tant penser à toi, et à ce "nous" qui s'est éteint.

tatoos sk8

" Tu traverses toujours mon esprit de temps en temps. Et je souris la plupart du temps. Essayant toujours de découvrir où est-ce que nous avons mal tourné et pourquoi. Alors je retrace chacun de nos pas avec un stylo incertain, essayant de comprendre ce que ma tête pense. Mais ma tête n'est plus ce qu'elle était. Et encore une fois, à quoi bon de toute façon? Je me souviens de toi montant tous les escaliers jusqu'au balcon, pour voir si tu pouvais me voir - caché tranquillement au loin. Et je me souviens de la peau de tes doigts, l'endroit situé aux trois quarts supérieur que je touchais toujours quand je ne savais plus quoi dire. Tu as tenu ma main, mais tu étais trop effrayée pour parler et je ne pouvais jamais comprendre. Je me souviens quand tu te penchais rapidement pour m'embrasser, et je jure qu'aucune force sur Terre ne pouvait empêcher ma main de trembler. Et je me souviens comment tu souriais à travers la fumée, dans un petit café entassés et comment tu riais à toutes mes blagues. Et je me souviens de la façon dont tu t'habillais et, comment nous avons gaspillés tout le meilleur de nous-même dans l'alcool et la sueur. Et je me souviens quand j'ai appris que tu partais, comment j'arrivais à peine à respirer. Et je parie que si j'avais à le refaire de nouveau, je ressentirai la même douleur. Et je me souviens tourner en rond paniqué dans le terminal en larmes. Comme j'en ai voulu à Dieu. J'ai détesté les aéroports depuis. Ca doit être vrai ce que les gens disent, que seul le temps peut guérir la douleur. Et chaque jour je la sens disparaitre mais, je me souviens toujours combien la distance nous as piégés et nous as laissés impuissants dans une fosse pour être dévorés. Je me souviens toujours comme nous nous sommes accrochés si fort à ça, quoique nous ne nous soyons jamais installés sur une sortie. Je me souviens toujours du silence, et comment nous trouvions toujours une façon pour tourner et courir vers nos erreurs. Je me souviens comme tout s'est reconstruit juste pour se briser de nouveau. Ma chérie, j'entends ta voix dans la mienne. J'ai été seul ici, j'ai été effrayé ma chérie. J'ai été ici à la maison. Tu as été loin pendant des années. J'ai été seul. Je respirais ton nom dans l'air ; j'ai gravé ton nom en moi. J'ai senti ma colère gonfler, j'ai nagé dans sa mer. J'ai tenu ton nom à l'intérieur de mon coeur, mais il a été enterré dans ma peur. Il a déchiré le cablage de mon cerveau; j'ai fait de mon mieux pour le garder clair. Alors, chérie, peut importe comment nous nous quittons, je te garde tendrement dans ma tête. Et si aucune partie de toi ne me manque, une partie de moi est morte. Si je ne peux t'aimer comme un amant, je t'aimerai comme un ami. Et je m'étendrais sur mon lit de mort avant toi, prenant soin de toi jusqu'à la fin..."

Lyris of:  La Dispute - Andria. 

Publicité
Publicité
2 janvier 2013

Similitudes.

59376_10151153812906725_1237244944_n

L'amour est vraiment comparable à la drogue, quand tu as testé les deux. Oui, il y a des concordances : l'amour comme la drogue, c'est jamais aussi bien que la première fois que tu en prends. Quand tu en prends trop, tu peux faire un mauvais trip mais tu auras quand même l'envie et le besoin d'en reprendre et de retester car tu recherches toujours la sensation de bien être presque indescriptible de la première fois. Et la douleur de la rupture comme la psychose du bad trip tu sais plus la gérer et l'oublier une fois que t'as vécu le pire. Mais c'est dur de résister et de pas en reprendre, mais il faut éviter de se détruire totalement. Une fois que tu y as goûté et que tu sais ce que c'est, ce serait mentir de dire que t'en reprendra plus jamais. L'amour est comparable à la drogue, oui.

14 décembre 2012

Espoir, espoir.

262842_248446575183506_248434961851334_931456_5168977_n

Je t'ai trouvé, enfin. Ca fait bizarre de revivre des moments de complicité, des instants si agréables dans les bras d'une personne. C'est pas facile de prendre de la distance et de ne pas s'emballer devant tant de moments heureux. J'ai peur, peur de retomber, peur d'avoir mal comme j'ai pu avoir mal à m'en déchirer le coeur et les entrailles. Il faut que j'installe cette barrière entre nous, mais je veux te laisser un passage. Je crois que j'ai jamais autant ouvert mon coeur à quelqu'un depuis "lui", tu sais, celui qui m'a enlevé toute la confiance en moi, ce manque de  confiance qui se ressent lorsque tu es avec moi, comme tu m'as dit. Tu es tout ce dont je rêvais. Je veux y croire, je veux passer encore tellement de moments près de toi. Ce n'est pas une histoire commune, je sens quelque chose, une fusion. Tu sais, je m'en fou si on prend notre temps, car je suis tout à toi, si tu es à moi. Aime moi, il me faut ton amour, ton attention, il me faut toi. Je veux pas espérer mais je ne pense qu'à toi et à ce que l'on pourrait vivre ensemble. J'aime quand tu m'enlaces, quand tu m'embrasses, quand tu me fais l'amour. Tu es si craquant quand tu esquisses ce sourire, tu es si envoûtant quand tu me regardes. Et puis, tu es si mignon quand tu dors. Tu me rends heureuse, je veux te rendre la pareille. C'est tellement bien ce qui nous arrive. Garde moi près de toi.

4 décembre 2012

Le pré où je suis mort - L'avenir nous appartiendra.

407107_356628807700959_290167887680385_1130323_1617034561_n

Même s'ils espèrent encore trouver une issue, le souffle court, les bourreaux se meurent. A en avoir trop gagné, ils s'enfoncent dans l'orgueil qui les voit se débattre. Tressaillants, tremblants, frissonnants. Leur jus amer s'écoule finalement des bastions percés. Et les passants incrédules pataugent alors dans une rivière de larmes. Tandis que d'autres brisent les armures qui défendent leur mal être. La fumée des barricades ombrage les ordures et décombres. Restes d'une société mise à mal.

Après l'écroulement de ces tours de fer et de verre, on fêtera le chancellement des citadelles du passé.

Comment survivre si c'est pour continuer à pâlir devant l'embrasement des cités?
Si tout s'écroule, on n'aura qu'à mieux faire!
On réécrira le futur sur une page blanche.
Enfin on pourra s'embrasser, soulagés, à la vue d'un futur ouvert aux folies.

La richesse cachée d'alors se libérera en proie à la tristesse de n'avoir pu vivre plus tôt.
Tout reconstruire comme on aurait voulu qu'il soit.
Tel que les enfants puissent jouir sans souffrir.
Et dans chaque main tendue il y aura la promesse d'une vie passionnée.

Puisque l'amour-propre renaîtra dans nos coeurs abandonnés.
Plus de passé, seul l'avenir passionne à présent.
On fêtera le chancellement des citadelles du passé.
D'une civilisation qui brûle, chavire et s'enfonce toute entière.
Tout reconstruire comme on aurait voulu qu'il soit.
Tel que les enfants puissent jouir sans souffrir.
Et dans chaque main tendue il y aura la promesse d'une vie passionnée.

29 novembre 2012

Assez.

284887_248510971843733_248434961851334_931980_360845_n

Parce qu'il arrive un moment, où trop c'est trop. Je suis fatiguée, fatiguée de tout. Je n'arrive même plus à pleurer, je suis comme bloquée, je n'arrive plus. Je ressens trop de choses à la fois, trop de sentiments néfastes se bousculent ici et là. Je n'y arrive plus. Ce petit être en moi qui ne demande qu'à s'enfermer, qu'à rester seule dans ma chambre, à broyer du noir. J'aimerai tout oublier d'un claquement de doigts, toutes ses merdes qui s'accumulent de jours en jours. Je suis dans un profond gouffre, j'ai l'impression que ça ne terminera jamais. Je n'arrive plus à sortir la tête de l'eau, je me noie complètement. Personne ne peut comprendre, personne ne peut m'aider. Je me déteste, je déteste ce que je suis devenue. Et j'engendre trop de problèmes, j'accumule trop de choses, je suis trop faible, je ne veux plus de moi, s'en est assez, je ne veux plus être ici. J'ai perdu bien trop de choses. Et j'en suis l'unique responsable. Oubliez moi, tous. Je suis une perte de temps.

Publicité
Publicité
26 novembre 2012

Made for me.

cigarets

 

Quand on les analyse, on pourrait parfois croire que les paroles d'une chanson sont écrites pour nous et pour ce que l'on vit et ressent à l'instant même. 
Et moi, en ce moment, j'aimerai te dire tout ça : 

"Tu obnubilais mes pensées, et je m'éprenais de toi un peu plus chaque jour. Je perdais la notion du temps, rien qu'en pensant à ton visage. Dieu seul sait pourquoi cela m'a pris si longtemps pour mettre mes doutes de côté, tu es le seul dont j'ai envie. J'ignore pourquoi j'ai peur, j'ai déjà ressenti cela autre fois. Chaque sentiment, chaque mot, j'ai imaginé tout cela, jamais tu ne sauras si tu n'essaies pas. De pardonner à ton passé et d'être uniquement à moi. Je te mets au défi de me faire tienne, ta seule et unique. Je jure d'être digne de tes bras. Alors n'hésite pas et donne moi une chance de te prouver que je suis celle qui peut tenir la route jusqu'au bout. Si j'avais été dans ton esprit, tu aurais été pendu à chacun de mes mots, tu aurais perdu la notion du temps au son de mon nom. Aurai-je un jour la chance de te serrer contre moi? Et t'entendrai-je me dire : "Quelque soit la route que tu empruntes, je te suivrai" ? Je sais que ce n'est pas facile de laisser tomber son coeur. Crois-moi, j'en sais quelque chose. Personne n'est parfait. Allez, donne moi une chance de te prouver que je suis celle qui peut tenir la route jusqu'au bout."

Extraits des paroles d'Adele, titre One and only.

26 novembre 2012

A la dérive.

185381_249252121769618_248434961851334_934657_3104193_n

Tu sais maman, parfois, la douleur est si vive et si intense qu'il faut être à la place de la personne, pour pouvoir la comprendre. Il y a un an, tu le sais, j'étais désespérée, et déprimée. J'avais touché le fond. Tu n'imagines pas à quel point la douleur que je ressentais était horrible, horrible au point de se taper le crâne contre les murs, les placards. Se rouler par terre, crier son désespoir et sa souffrance dans l'espoir que ça passera. Tu m'as ramassé tellement de fois sur le carrelage, dans mes crises, mes moments d'angoisse et de déprime. Mais tu sais maman, ça ne passe jamais totalement. Il y a des mots que tu m'as dit lors de cette période, qui me résonnent dans la tête, tout le temps.  "Prends tes cachets et calme-toi, sinon le médecin m'a dit qu'il viendrait te chercher pour t'envoyer à l'hôpital. Tu veux pas être chez les fous quand même? Ma chérie reprends toi, tu me fais tellement peur" ... Je suis désolée de t'avoir fait ça, maman. Mais j'avais trop mal, j'avais l'impression qu'on me serrait le coeur, qu'on me piétinait. J'avais tellement mal de te voir pleurer tous les jours à cause de mon état mais maman, j'avais besoin de me retrouver complètement à terre pour me relever. Puis tu sais que la vie c'est comme ça, ça fait souffrir. Je suis tellement désolée de t'avoir fait subir mes souffrances, d'avoir passé un mois entier dans ma chambre à broyer du noir, à ne plus me nourrir, à ne plus sortir. Pardon de t'avoir gêné, à t'obliger d'appeler tous les jours le lycée pour dire que je ne viendrai pas en cours, encore une fois. Tout ce que je savais faire, c'est pleurer, m'infliger souffrances et tourments. Mais c'était la pire douleur de ma vie. J'ai jamais eu aussi mal, j'ai jamais été aussi bas. Tout espoir s'était envolé, je ne voulais plus ressentir quoi que ce soit. Tu sais ce que c'est la douleur, maman. Je le sais. Je t'aime, je ne voulais pas te faire de mal. Mais j'ai remonté la pente pour toi, même si à l'heure d'aujourd'hui des larmes coulent toujours en y repensant. Tu sais que je me suis relevée, du moins j'essaie. Je ne veux plus jamais te faire revivre ça maman, alors maintenant je me cache pour pleurer à la maison, et quand je crie, je le fais dans l'oreiller. Je veux que tu me vois heureuse. Je veux pas te blesser encore une fois à cause que j'suis triste, maman.

26 novembre 2012

Un beau matin...

 

tumblr_mbni8u1hGf1qeyov3o1_500

Allongée dans l’herbe au petit matin, le son de trance encore présent -qui me tient en éveil- reposant mon corps dece week-end encore une fois magique, avec mon café et ma clope, je n’avais même pas remarqué cet homme visiblement plus âgé, posé à côté de moi avec son Chaï dans les mains. Il m’intrigue. Et les mots se débloquent, s’enchaînent. Et notre discussion en vient à l’endroit où nous sommes ce dimanche matin, dans la forêt, au soleil, entourés de ce son psychédélique et merveilleux.

“En France, nous sommes vus comme des drogués, des purs marginaux, des insociables… Parce que les gens ne vivent qu’avec des préjugés, nous collent ces étiquettes de dépravés au front rien qu’en voyant nos camions, nos chiens et notre style, même si pour moi dans ce milieu, on est nous même et n’avons pas de style précis. Mais c’est ce qu’ils pensent… ” (…)

Ayant fini mon café, ce charmant homme me sert de son Chaï, qui réveille mes papilles gustatives, les épices me chatouillant le nez. Je le laisse retourner devant le son, pendant que je songe à notre discussion… Cela m’a fait réagir sur ce monde… Les gens qui croient que les personnes viennent en teuf parce que ce sont des gros camés sont tellement ineptes. Ne jugez pas sans connaître. C’est un monde à part, une rencontre perpétuelle avec les gens, la musique, la nature. Les sites sont tellement beaux, tantôt près d’un grand lac, tantôt dans une forêt, derrière un château… Mais laissez les, laissez nous. Ce sont des gens comme les autres, qui ont juste une vision de la vie plus ouverte, et ça, ça me colle à la peau… La liberté de partager tout ça, en contact avec la nature, au rythme du son, des lasers et des formes psychédéliques s’illuminant…  Les mesures pour créer des brigades anti-teufs sont de plus en plus grandes, et ça me dégoûte. On embête personne, on est entre nous, dans notre univers, la liberté et l'ouverture d'esprit. Quand je vois que de plus en plus de sound systems s’exilent en Hongrie ou autre, ça ne m’étonne même pas… Je rêve de voyager, d’aller là-bas, et de faire le tour du monde. Partir, là où les raves ne sont pas que vues comme des “nids à drogués”, parce que croyez moi ou non, ce n’est pas ça, en soi. C’est du partage avant tout. Et des rencontres aussi belles les unes que les autres, à chaque fois.

22 novembre 2012

Premier amour.

Together

C'était un soir d'automne, tu m'avais appelé au lycée l'après-midi pour m'emmener en soirée le jour même. Je ne me doutais pas que tu me voulais depuis 8 mois déjà. Je n'avais même jamais vraiment pris le temps d'apprendre à te connaître, en fait. Puis tu es venu me chercher. Nous sommes partis à la soirée. Les verres d'alcool s'enchaînant, tu te rapprochais de moi, tout doucement. On est tous sortis dehors, et puis on s'est embrassé, pendant plusieurs minutes tellement tes lèvres étaient savoureuses. Je m'en rappelle comme si c'était hier. Mais ça fait pourtant déjà plus de 3 ans. Le lendemain, je reçois un message, me demandant si je voulais bien commencer une histoire avec toi. Une attention surprenante, que j'ai tout de même apprécier. Même si je ne me doutais pas un seul instant que j'allais vivre une histoire des plus magnifiques. Toujours un peu méfiantes des histoires d'amour, je laissais le tout aller. Et puis au fil du temps, tout s'est engendré : Notre premier nid d'amour chez ma mère, nos discussions des plus longues, nos rires si complices, nos folles nuits d'amour, nos si forts sentiments partagés... Tout était parfait.  Je crois que je peux le dire, j'ai vraiment vécu une histoire forte et merveilleuse. J'ai connu le grand amour, avec le grand A. Tant de choses partagées, tant de bonheur ensemble. On avait juste à se regarder pour savoir ce que l'on voulait l'un de l'autre. Nos petites escapades lors des soirées, obligé de s'éclipser pour faire l'amour tellement nous étions fous de désir. Les surnoms débiles qui te faisaient rire mais honte à la fois lorsque je les criaient devant tes potes pour t'embêter. Tes cadeaux plus jolis les uns que les autres. Nos petits secrets d'enfance partagés, qui nous faisaient partir dans des fous rires inimaginables. Notre complicité qui faisait des envieux. On s'en foutait de tout, on était ensemble, on vivait notre bonheur, nos moments, et c'est tout ce qui comptait. Tu étais mon meilleur ami, mon complice, mon amour, mon amant, ma drogue, ma vie, mes espoirs.  Et il y a aussi, nos premières vacances ensemble, à la mer, pur bonheur, pur exhil en amoureux. Ces moments où tu pleurais dans mes bras quand tout allait mal de ton côté, ces moments de réconfort si important à nos yeux. Nos moments de tristesse, de disputes, mais qui rendaient des réconciliations magiques sous la couette. Nos projets, nos envies de vivre ensemble. Tes visites à l'improviste, tes mots doux si beaux. Nos instants indescriptiblements fusionnels, où l'on entendait une musique, et que l'on se regardait pendant des heures, en s'enlaçant et en pleurant de joie d'être ensemble et de s'aimer si fort tous les deux. Et puis, est venu ton changement engendré par ton déménagement, nos envies commençaient à être différentes. On s'éloignait, mais on s'aimait encore tellement. Et puis nos disputes étaient si fréquentes, on se déchirait, on s'abîmait. Et ce soir où tu es venu me dire que tout était fini. Ce soir où tu as pleuré comme jamais je ne t'ai vu pleuré, ce moment où mon coeur fût déchiré, brisé en mille morceaux. Ce soir là où on était même pas capables de se dire aurevoir, tellement les larmes n'arrêtaient pas de couler pour nous deux, tellement notre amour était si fort encore l'un pour l'autre mais impossible à continuer. Je t'aime, et je t'aimerai toute ma vie. Ce que j'ai écris ici ne résume même pas le quart de ce que l'on a pu vivre ensemble. Ces deux ans de ma vie ont été les meilleurs de mon existence jusqu'ici. Tu es quelqu'un qui a compté plus que n'importe qui dans ma vie, j'aurai tout fait pour toi. On s'aimait d'un amour inconditionel, mais trop de choses ont fait que l'on devait se séparer. C'est dur de se quitter alors que l'ont sait pertinemment tous les deux que l'on s'aime à en mourir. J'aimerai tant que tu reviennes, j'aimerai tant revivre tout ça. La vérité c'est que, parfois tu me manques tellement que j'ai l'impression de crever tant ça fait mal. 

22 novembre 2012

Rencontre(s).

 

185369_248446941850136_248434961851334_931475_4152339_n

Ton être est de pierre. Mais son sourire te délivre et te fais tout oublier autour de toi. Tu crois être sauvée? Mais finalement c'est le contraire. Ça t'bouffes. Mais c'est illogiquement meilleur à tes yeux. C'est plus excitant de se risquer, de goûter enfin à cette vie. Catégoriquement satisfaisant, transcendant, palpitant. Unique. Tu rêves de vivre chaque seconde de ta vie plus fort, plus fort que tout: Toujours plus. Ou peut être moins.. Dans ces moments où ta lâcheté refait surface. Ou tes doutes trépassent, et que tes idées t'agacent. Ou tout reviens et te perturbe. Te glace, te stoppe, t'arraches cette envie. Ça te surprends sûrement, puisque ça arrive sans prédictions ni symptômes. C'est pas comme dans la salle d'attente du docteur où tu attends ce diagnostic dans un état semi-conscient, assommé par ta maladie. Et que tu regardes chaque personne partir, où tu attends patiemment ton tour. Là tu n'as pas le temps d'attendre. Tu sais tout de suite "quoi, pourquoi, comment"... Au moment où tu t'y attends le moins, bien évidemment. D'un coup net, tel un choc, une décharge électrique. Bien que cette envie, tu la retrouve toujours et qu'elle est encore plus intense, plus présente, plus profonde par la suite. Tout recommence alors comme à ce jour. Ce jour où tu as eu ce déclic, cette joie, ce soulagement.. Cette personne, ce moment, cet endroit. N'importe quoi, n'importe qui, ce qui t'as rendue comme ça et pas autrement. Celui, celle, ceux, qui ont faits ce que tu es maintenant. Aux yeux des passants tu n'es qu'une personne anodine, un étranger. Mais tu es dérangée, ton esprit et ta personne sont cachés. Tu parais, simplement.

 

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Douleurs et pensées retranscrites.
Publicité
Archives
Publicité